[X]Death Note -- Revival
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 Noyé dans une tasse de café [Sakki]

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Matsuyama Eikichi
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Matsuyama Eikichi


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MessageSujet: Noyé dans une tasse de café [Sakki]   Noyé dans une tasse de café [Sakki] Icon_minitimeDim 30 Sep - 8:35

Un grincement retentit dans le café, rapidement étouffé par les discussions des clients et les cliquetis de la vaisselle. Ce n'était rien. Juste le bruit d'une porte qu'on ouvre, suivi du timbre de la cloche, le DING habituel déclenché par l'ouverture. Matsuyama-kun entrait dans le café. Comme tous les dimanches, il traversa la salle pour rejoindre une table près du bar et s'y installa. C'était en quelques sortes sa place fétiche. Et bien que la chaise ne soit pas particulièrement confortable, bien que la lampe plafonnière placée juste au-dessus de sa tête l'aveugle, bien qu'elle soit légèrement bancale, cette fichue table faisait partie de son quotidien. La plupart des tâches de café incrustées dans la nappe étaient également les siennes. Mais malgré tous ces petits défauts, cette place représentait un excellent point stratégique. D'ici, on entendait presque toutes les conversations. Les blabla des clients ne lui échappaient pas. Et quoi de plus important pour un journaliste que de se tenir au courant des ragots ? Matsuyama-kun tira la chaise pour s'y asseoir. Il croisa les jambes et, les bras joints derrière le dossier, observa le plafond en fermant les yeux : "Aaaaaaaaah ... Je m'demande ce qu'est dev'nue Masumi-chan au bout du compte. La promotion de son livre doit lui prendre un temps fou", pensa le jeune homme à haute voix. Oui, un temps fou.

Eikichi rouvrit les yeux pour fixer une plante en pot, quelques mètres devant lui. Il avait lu le bouquin en question : un tas d'feuilles blanches vite remplies qui n'avait rien d'un best-seller. Et ça se disait écrivain ... tssss ... quelle prétention. Et quelle mauvaise foi de la part du journaliste. Peut-être n'acceptait-il simplement pas l'idée d'être moins important qu'un vulgaire livre aux yeux de son ex-petite amie ? Ouais. Ou quelque chose comme ça. Une serveuse s'approcha du jeune homme. Elle esquissa son plus beau sourire et demanda d'une voix chaleureuse : "Bonjour. Qu'est-ce que j'vous sers ? Comme d'habitude ?"
Matsuyama-kun hocha la tête en signe d'affirmation. Descendre quatre ou cinq tasses de café ne pouvait que lui faire du bien. Il leva la main en Twix et ajouta : "Double dose, j'suis pas en grande forme aujourd'hui - Beaucoup de boulot ? - Hum, oui, entre autres ..."
La serveuse tourna les talons pour rejoindre le comptoir avec sa commande. Eik soupira. Le boulot ... Bon sang ! C'est vrai qu'il prévoyait une interview importante pour le lend'main ! Mais la vedette s'était mystérieusement désistée ce matin même, sans trop d'explications. Quelle poisse ... sans parler des trois articles à boucler pour le journal de ce soir. Matsuyama-kun courait à la catastrophe. Il n'avait franchement pas assuré cette semaine.

Le jeune homme semblait perdu dans ses réflexions ; la serveuse en profita pour contre attaquer avec son plateau. Elle déposa six tasses sur sa table en déclarant joyeusement : "Vous êtes un de nos meilleurs clients, la maison vous offre donc le sixième !"
Eikichi sourit mais ne répondit pas tout d'suite. La remarque l'amusait. Bon client, il l'était sans aucun doute ... mais pas le plus fidèle. N'importe quel individu, connaissant la quantité de café qu'engloutissait le reporter chaque jour, comprendrait qu'il était bon client pour tous les cafés du coin ... Matsuyama-kun ricana. Il attrapa une des tasses par l'anse et avala une petite gorgée, pour finalement remercier la serveuse qui prit congé de lui. Le café brûlant évacua pour de bon la rancoeur et la fatigue qui traînaient entre les neurones du journaliste. Il jeta un bref coup d'oeil à sa montre, puis fourra une main dans sa poche pour en sortir notes, stylo et téléphone portable. L'heure d'oeuvrer pour la bonne cause avait enfin sonné. Eikichi composa un numéro sur son mobile et patienta quelques minutes avant que son interlocuteur ne daigne décrocher le combiné : "Eh, Itō-san ? C'est Ikki. Est-ce que tu as des nouvelles pour moi ? Comment ? Non, je bosse pour le journal de 20h. Je ... non ... ok, tu as parlé avec Wata'-san ?" murmura Eik en entourant des lettres sur ses notes.


Dernière édition par le Sam 1 Déc - 7:08, édité 3 fois
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MessageSujet: Re: Noyé dans une tasse de café [Sakki]   Noyé dans une tasse de café [Sakki] Icon_minitimeSam 1 Déc - 4:33

Rires forcés, éclats de rires sonnant faux a l'écoute de nouvelles particulièrement insignifiantes, exclamations intriguées et hochement de tête affirmatif, coup de stylo adroit répondant a un mot envoyé au travers de la classe sous le regards inattentif des profs... Une journée normale, habituelle, monotone en réalité, succéssion de mois d'une vie affreusement plate et inactive. Un après midi... ensoleillé, comme il en existait tant d'autres. C'était peu a peu l'ennuie et la fatigue accumulée qui avait finit a gagner l'adolescente, l'ennuie devenu quotidien et une fatigue dû aux horaires de cours trop contraignants a son gout. Elle s'était contenté de sourires aux réflexions teintées d'ironie de certaines amies, de prendre d'une main lasse quelques notes sur un théorie mathématique qui lui semblait étrangement lointaine d'une réalité ou ce genre de relfexion semblait tout simplement dérisoire.

Enfin... La sortie du lycée, l'adolescente s'était instinctivement dirigée vers un endroit qui pourrait la couper quelques instants de ce monde où les histoires et les rumeurs formaient la règle d'or. L'idée de retourner directement chez elle avait été largement et simplement écartée, pensant a la quantité de devoirs qu'elle avait a faire et a l'activité régulière qui animer la maison. Son père rentrerait tard, sûrement, avec un travail régulier qui lui exigeait un nombre de travail et d'efforts importants. Le café Watashi était un café d'habitués. La plupart des gens qui s'y rendait se connaissait, se saluaient d'un signe de tête lorsqu'ils s'apercevaient de facon presque systématique. Les serveurs semblaient connaître chacune des personnes présentes et avait peu a peu développer une facon prudent de les appochés en s'adaptant au caractère. Les habitants de Tokyo s'y rendaient en petit groupe pour discuter dans l'ambiance, chaleureuse et conviviale, qui caractérisait le magasin pour le plaisir de ses clients. Ce n'était pas tant le café que l'on y servait qui le rendait aussi populaire mais plus l'atmosphère qu'il offrait invariablement.

Personellement, Sakki s'y rendait de temps a autre, essentiellement par mesure de commodité et en raison de son emplacement qui donnait, en quelques minutes a pied, sur les grandes lignes de métro. Alors ce jour la, une fois de plus, son sac noir sur ses épaules, une jupe entourée de chaîne dans un style traditionellement "gentiment " gothique qui confirmait l'image des lycéennes actuelles, elle s'y rendait, ses cheveux noirs élégamment relevé sur sa nuque, son perpétuelle sourire teinté d'ironie sur son visage. Ses yeux rougeâtres si singuliers se posant sur les tables et leurs occupants.

Elle consata le manque consternant de place tant la clientèle s'était développée au fil des années. Ils étaient déja en bande et l'idée de se joindre a une table était loin de l'enthousiasmée fortement. D'un autre coté, c'était au bar que l'adolescente avait pris l'habitude de s'asseoir, les quelques fois où elle se rendait dans le café Watashi.


Vous voulez quelque chose ?

Elle hocha la tête et se contenta d'énoncer une des boissons au hasard de la carte. C'était une solution plus simple que de faire le choix coutumier d'une même boisson. Pour rompre un pu avec le quotidien, c'était l'ue des rares choses qui pouvaient lui procurer un peu de surprise qu'elle avait trouvée. La jeune coréenne se contenta donc d'attendre en silence.

"Eh, Ito;-san ? C'est Ikki. Est-ce que tu as des nouvelles pour moi ? Comment ? Non, je bosse pour le journal de 20h. Je ... non ... ok, tu as parlé avec Wata'-san ?"

La voix d'une homme a sa droite, un portable dans une main, un stylo dans l'autre et écrivant a une vitesse relativement impressionnante une large quantitée d'informations. Remarque, pour avoir ingurgiter les cix tasses de café posées a sa droite, il devait avoir de fortes raisons, soit du au surmenage ou a une peine quelquoncque. Après quelques instants de conversation - on l'aurait entendu a l'autre bout du magasin - qu'il repoisa le combiné.

"Journaliste ?"

interrogea la jeune fille avec un sourire implacable qui se voulait résolumment sage et poli. Elle était sociable, contrairement a beaucoup d'autres qui se serrait terré au fond de la boisson. Les journalistes ne l'intimidaient pas, l'irritait parfois lorsque les sujets qu'ils abordaient lui semblaient étrangement dérisoires mais elle devait reconnaître que ses points de vue sur le monde serait très différents si il ne récoltait pas certaines informations.

La voix légèrement chantante de la serveuse parveint aux oreilles de la jeune coréenne qui prit sa commande avec un sourire distant de remerciement.

Ce fut peut être le mouvement de pas maladroit de la serveuse ou encore le geste de Sakki qui renversa le plateau sur le contenu du plateau dont deux tasses d'un café noir particulièrement brûlant sur les genoux de son -récent- interlocuteur. Rouge de confusion, la serveuse s'inclina profondément, se répendant littéralement d'excuse, visiblement paniquée. Sakki releva la tête, observa la jeune femme a ses côtés, partagée entre la surprise et la consternation que pouvait lui procurer cette femme. Enfin, cet homme n'avait pas l'air au bord de la faillite, un simple pardon suffisait et une tache de café n'était pas mort d'homme...


" Désolé... J'imagine que vus les circonstances, je n'ai pas d'autre choix que de vous payez un septième café..."

Elle eut un bref sourire...

" Pardon "

Le regard non dépourvu d'une certaine reconnaissance, la serveuse eut un bref regard mi-inquiet vers l'homme et quitta la salle avec une sorte de dévérence muette.

"Chihiro..." ajouta la coréenne en guise de présentation.
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MessageSujet: Re: Noyé dans une tasse de café [Sakki]   Noyé dans une tasse de café [Sakki] Icon_minitimeDim 2 Déc - 9:58

"Huhum. Je vois ... Tu devrais tout d'même l'appeler, au cas où. Je doute qu'il en sache plus que moi sur l'affaire mais c'est lui l'plus proche. Peut-être qu'il a entendu deux ou trois mots. Comment ? Tu sais qu'on n'peut pas faire d'article avec si peu d'informations ... Mais ce s'rait vraiment stupide que la JTV s'empare du sujet avant nous, faute de nouvelles marmonna Eik dans son téléphone portable. C'est vrai qu'au coeur des bureaux de sa chaîne de télévision, on se plaignait systématiquement de la baisse d'audience. Le moindre scoop susceptible d'intéresser la population japonaise devenait une cible alléchante, un véritable hors d'oeuvre ; tous les journalistes se jetaient dessus comme une horde de chiens affamés contre un os. Les premiers arrivés étaient les mieux servis tandis que les derniers, eux, se contentaient d'un morceau rongé jusqu'à la moelle. Une course aux nonos. C'étaient ça aujourd'hui, les media. J'te fais confiance, susurra le jeune homme en souriant. Il avala une gorgée de café puis reprit d'un ton ferme :
Je laisse le reportage sur l'arrestation du violeur à Kyoko. Elle se débrouillera très bien - comme d'habitude. Je crois qu'c'est toi qui t'occupes du scandale Shino, non ? Alors j't'enverrai un mail avec le compte rendu de la petite conversation que j'ai eue avec son assistante ... Un interrogatoire ? Ah ah ! Mais non, tu m'connais : je suis un gentleman. Je sais m'y prendre avec des baguettes. Par contre, je veux absolument l'article sur Kira et la O.A.K. Donc ... si on t'le propose ... refuse !"

Le japonais ricana. Il accordait énormément d'attention aux événements récents et ... tout ce qui concernait Kira l'intéressait. Ces articles devenaient une priorité pour le journaliste. Tant pis s'il succombait sous une quantité phénoménale de travail, s'il consommait une citerne de café, s'il ne prenait plus le temps d'harceler son ex-petite amie et si les paupières de ses yeux cernés se faisaient de plus en plus lourdes. Il irait jusqu'au bout de ses ambitions. Deux mois qu'il suivait le moindre événement concernant Kira ; ce n'était pas le moment de lâcher prise. Eikichi contempla les six tasses de café. Il les avait vidées sans même s'en rendre compte ... Muarf. Engloutir tout ça et oublier le goût de l'arabica chaud glissant dans sa gorge. Ignoble. "J'ai aussi besoin d'informations sur l'incendie criminel dans l'centre de Tokyo. Je manque de détails. Tu vois de quoi j'parle ? Oh, tu en as ? Nickel. Je t'écoute !" dit-il en notant ce que lui dictait son collègue. Prendre un maximum de mots sur la plus petite surface de papier possible en un temps record était une des principales qualités d'Eikichi. Le problème ? Ses documents devenaient illisibles. M'enfin, lui se relisait facilement, alors au diable les autres ! Ils n'avaient qu'à le laisser prendre les choses en mains. Le coup d'fil absorbait tant l'attention du reporter qu'entre deux "Hum" et "Aaaaah ?" d'approbation, ce dernier ne remarqua pas l'entrée d'une adolescente dans le café bondé. Vous m'direz ... pourquoi l'aurait-elle intrigué ? C'était une fille normale, le reflet de la jeunesse actuelle.

Matsu-kun salua son collègue - "Arigota gozaimazu. Sayônara, Itō-san !" - puis raccrocha le téléphone. Il rangea ses notes barbouillées de phrases quasi illisibles dans un attaché caisse noir et haussa le menton en direction de la lycéenne lorsqu'elle s'adressa finalement à lui : "Journaliste ?" Ahem. Il parlait si fort que ça ? Eiki s'appuya contre le dossier de la chaise pour trouver une position à peu près confortable, ce qui n'était pas mince affaire. Il répliqua, levant les mains au-dessus d'sa tête, comme témoin d'un hold-up : "Hélas oui. Je suis démasqué." Puis un sourire sarcastique étira les lèvres du japonais. Il dévisagea la gothique pendant de brèves et silencieuses secondes pour ajouter du même ton blagueur : "Et vous ? Espionne ?" Naturellement non. Mais le reporter ne pouvait se passer d'une petite touche d'ironie, comme d'habitude. Quelle délicate façon de sous-entendre Ce n'est pas bien d'écouter les discussions des gens, petite curieuse sans paraître trop désagréable ou trop rabat-joie. Non pas que sa communication fut privée - tout ce que venait d'évoquer le journaliste paraîtrait dans le journal télévisé, deux jours plus tard, voir le soir même - mais ... C'était beaucoup plus drôle ainsi. Une serveuse s'approcha pour servir la lycéenne. Eikichi n'accordait que peu d'intérêt à ces détails ; il reporta son attention sur le portable qui vibrait contre la table. Nouveau message ? Le journaliste ne vit pas l'incident arriver.

"Merd*, c'est brûlant !" s'écria-t-il en sursautant lorsque le café tomba sur ses genoux. Le garçon mis pied au sol et s'empara d'une serviette pour éponger le liquide. Il maugréait : "Bon sang ... On dirait que j'émets des ondes négatives avec le café en c'moment. Quelle poisse." Trop occupé à grommeler sa misère, Eiki ne prit pas le temps de répondre aux plates excuses de la serveuse qui s'agitait pompeusement devant lui. Il se fichait pas mal de savoir comment le café avait atterri là ... Ce qui comptait, c'était l'état de son jean.
"Désolée ... J'imagine que vu les circonstances, je n'ai pas d'autre choix que de vous payez un septième café" dit l'adolescente. Le reporter se tourna vers elle et lui jeta un faux regard assassin. Croyait-elle acheter son pardon avec un café ... ? Hu oui. Le garçon devait être transparent. Il souffla sur une de ses mèches blondes, reprenant pour la serveuse : "Il m'en faudra au moins un huitième pour me remettre de mes émotions. Deux ... non, trois cafés s'il vous plaît." Puis il se rassit sur sa chaise, un signe de main invitant la lycéenne à l'imiter. Celle-ci se présenta tandis que la serveuse déguerpissait. Chihiro ?
"Ikki" renchérit-il en empilant ses six tasses de cafés vides sur la table. Le garçon avait hésité. Devait-il donner son vrai prénom ou celui qu'il empruntait pour sa carrière de journaliste ? Chihiro ayant entendu toute sa conversation téléphonique, autant utiliser le 2ème. Ikki. Sa pyramide bouclée, Matsuyama-kun demanda : "Vous rentrez du lycée ?"
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