[X]Death Note -- Revival
Vous souhaitez réagir à ce message ? Créez un compte en quelques clics ou connectez-vous pour continuer.



 
AccueilAccueil  RechercherRechercher  Dernières imagesDernières images  S'enregistrerS'enregistrer  ConnexionConnexion  
Le Deal du moment : -28%
Précommande : Smartphone Google Pixel 8a 5G ...
Voir le deal
389 €

 

 Chiaki Anzu [OK]

Aller en bas 
4 participants
AuteurMessage
Chiaki Anzu

Chiaki Anzu


Nombre de messages : 5
Date d'inscription : 28/11/2008

Chiaki Anzu [OK] Empty
MessageSujet: Chiaki Anzu [OK]   Chiaki Anzu [OK] Icon_minitimeVen 28 Nov - 17:21

†DJ†

Nom
Chiaki

Prénom
Anzu

Pseudonyme
La jeune femme n'a jamais jugé utile d'utiliser un pseudonyme, étant inconnu des autorités dans son douloureux et lancinant statut d'handicapé et indifférente aux organisations habituelles. En fauteuil roulant depuis ses septs ans, elle présente une menace relativement inexistante.

Âge, date de naissance

Shinigami & Pays d'origine

Description Physique

J'ai toujours eu la santé fragile. Une santé que l'on disait instable, aqueuse, changeante et dont les répercutions sur les plus infimes détails physiques restent visibles. J'ai toujours été trop maigre. Chacune des visites médicales régulières chargées de suivre mes températures fiévreuses et irrégulières relevaient du même résultat : une tendance appuyée à l'anorexie qui se soldait par des formes presque inexistantes et terriblement enfantines. Du haut de mes dix-neuf ans, je n'en fait guère plus d'une douzaine généreuse et mon manque proéminent d'appétit m'a valut la perte de hanches que j'aurais aimer plus généreuse, tronquant une poitrine déjà faiblarde et creusant un peu plus mon ventre plat que les côtes assaillent avec une vigueur évidente. Les jambes aux mollets fins et aux cuisses trop peu développées n'arrangent en rien le portrait déjà peu alléchant de ma personne, avec des avant bras secs et des poignets graciles que complètent les mains longues et les doigts effilés que la moindre poignée de main amicale semble prête à briser. Je manque de ces courbes qui aguichent les hommes et ma maigreur ne fait que creuser mes traits et rendre ridicule les vestes trop amples de mon enfance. Je ne dégage pas cette aura qu'ont les mannequins, ces rondeurs élégantes qui vont bien à tous les vêtements de commerce à la mode et je hais ces traits enfantins qui s'obstinent à ancrer l'apparence de cette fillette fragile et instable au tempérament changeant. Je me déteste. Et j'ai raison. C'est le pire.

Ma petite taille ne fait qu'appuyer ce trait : je n'ai jamais été très grande et ma courbe de croissance à révéler que la maladie m'empêcherais d'atteindre des sommets. Dans les descriptions demandées dans les classes préparatoires, je m'amusais à me décrire menue. C'est un adjectif plus agréable que maigre et qui n'arrangue pas la différence. On m'a toujours dominé d'une bonne tête. De visage, j'aurais certainement pu être aguichante ou attirante si l'anorexie n'avait pas légèrement creusé les joues et si mes lèvres s'étaient avérées plus charnues. J'ai le visage fin et classique des japonaises, à la différence notoire d'une peau qui n'a pas ce hâle un peu jaune mais d'un blanc laiteux que parsème des tâches brunes de rousseur, indélébiles et marquées sur la peau nue. Je les ai hérité de mon père, une américain d'un conformiste et d'un classicisme affligeant. Un cou fin et des traits qui ont le mérite d'être proportionnels et bien dessinés dans lesquels se fondent mes lèvres fines. L'arcade sourcilière proéminente semble creuser des yeux que mes origines moins orientales ont voulut étonnement ouverts, dévorant une partie de ce visage qui aurait du accueillir selon les règles du dessin le regard bridé d'une japonaise, offrant une contraste aussi étonnant que délicat. Des cils longs et noirs en accentuent sans peine le bleu pâle, maladif.

Mes cheveux étaient blonds au départ. La maladie les a rendu presque blancs et je me suis longtemps amusée à les teindre. Mon physique enfantin m'a longtemps complexé et dans l'espoir de redonner leur maturité à mes traits, j'use régulièrement d'un maquillage que les passants jugent outrancier et critiquent autant que possible. Un rouge à lèvre carmin bon marché qu'arborent d'ordinaire les libertines, je ne comptes plus les tatouages à l'encre qui recouvrent les parcelles d'un corps trop pâle. Les piercings également, au labret ou le long de l'arcade et qui se multiplient de façon surnaturelle. Le noir trop appuyé de mes yeux creusent des cernes indélébiles et un abus évident de mascara. Mes dents sont étonnamment blanches compte tenu du nombre imposant de cigarette que je fourre entre mes lèvres dans un coin de rue. L'envie d'effacer du regard de la populace une image de victime a influencer sans aucun doute ma tenue et mes choix vestimentaires : les tee-shirt criards et moulants recouvrent les jeans déchirés aux genoux et les vestes en cuir masquent mal les bracelets cloutés.



Caractère

Citation :
[Extrait des dossiers médicaux de l'école primaire de premier cycle]
Visite trimestrielle de Janvier

Chiaki Anzu
9 ans et trois jours

[ Élève distraite, renfermé, peu encline à la communication (autisme ?) et attitude résolument indifférente. Aptitudes mémorielles étonnantes mais clair refus de l'autorité. Instable et à surveillé, travailler le niveau relationnelle avec son entourage. Goût prononcé pour l'auto-mutilation.

Parents séparés depuis 4 ans. ]

Histoire

J'ai mal... Une douleur sourde, aiguë et muette qui transperce mes membres d'enfants, arrache à ma gorge l'écho muet d'un cri qui ne parvient pas à franchir mes lèvres froides, rendues bleue par un sang poisseux qui refuse avec une obstination cruelle de délivrer ses services. Les mains des médecins dont les gants salie par la substance rougeâtre découlant de mon corps enserrent douloureusement mes poignets et tentent de mettre fin au supplice déroutant que représente l'hémorragie. J'hurle. Mon cri se répercute les longs des murs tandis qu'une voix autoritaire et intransigeante lance les échos d'ordres qui ne parviennent que difficilement à mes oreilles. Plus que les gestes déplacés et l'exploration vigoureuse des blouses blanches, ce sont les ordres terrifiés des infirmières qui plaquent des mains tremblantes sur leurs lèvres pâles et maquillées a la hâte. Je n'ai plus que des brides de souvenirs confus de cette soirée, le visage plongé dans l'ombre de cet homme dont les mains se sont montré plus qu'osées sur un corps d'enfant dont les formes ne sont qu'à peine développées, l'étreinte mortelle et violente, les cadavres inanimés de ceux qui quelques instants plus tôt représentait une famille dissociée et maladroitement unie. Les gestes des médecins se font plus concis, plus clairs en même temps que la précipitation cède la place à une inspection méthodique et consciencieuse qui ne parvient pas à effacer la douleur qui tenaille mes côtes. Je ne sens plus mes jambes. Je ne marcherais plus. J'entends de loin les échos de leurs voix qui commentent la paralysie partielle.

Je ne pourrais plus marcher. Cette perspective fait plus mal encore que les flots discontinus d'un sang poisseux qui coule le long de mes tempes et creuse des sillons disparates le long de mes cuisses enfantines sur lesquelles les mains du médecin légiste s'arrêtent avec un peu trop d'insistance. Si tu ne peux pas me rendre mes jambes casse-toi, retire ce qui te confère cet indicible supériorité directive. Je tente de me relever et sens un liquide salé et amère jaillir de mes lèvres blanchâtres que parcourent des veines visibles sur la peau revêtant une pâleur inhabituelle. J'aimerais essuyer ce qui perle de mes joues bleuie par les meurtrissures de celui qui a tuer les autres. Je n'y arrive pas et les doigts retombent lourdement sur les draps blancs. J'aimerais sentir les piqûres et les vaccins, le contact métallique des aiguilles qui sortirait mes jambe de leur léthargie et confirmerait le fait que je ne sois pas morte, que mon corps accepte de répondre. Derrière le voile de mes larmes, j'entends la voix rocailleuse du légiste qui tente doucement de rassembler mes esprits, hasardant des questions que je trouve aussi stupides que dénudées d'intérêts. Elles sont pressantes, me paraissent affreusement compliquées et la fatigue et l'essoufflement l'emportant, je n'essaye pas de répondre à ses sourires affreusement superficiels.


« ... »

Les soupirs de soulagement qui me parviennent en échos me rassurent étrangement. Les infirmières semblent plus confiantes, la tension cumulée de dernières heures retombent subitement et peu à peu la douleur s'estompe pour faire place à quelque chose de bien pire. Je ne sens plus mes articulations. Ce n'est pas du à la fatigue. L'envie de hurler me prend mais l'égosillement forcé des dernières heures met un terme virulent à ces volontés. J'ai vu des gens défilant sur des fauteuils, le regard torve et l'oeil inexpressif, les traits figés dans une expression de profonde lassitude. Je ne veux pas devenir comme eux. Condamnée le jour de mes treize ans. Je ne crie plus mais les larmes coulent, naturelles le long des mes joues qu'elles nettoient de leur sang. Je ne veux pas me laisser aller devant eux. Ils semblent prendre ma manifestation faiblarde pour un signe d'encouragement et je leur en veux de leur passivité exaspérante.Tout ira bien... C'est les phrases qu'ils me répètent, clamant que tout est finit. Rien n'est finit. Vos gueules. Je ne pourrais plus bouger et j'ai horreur de ces visages grouillant de compassion sur lesquels se mêlent des sentiments indistincts et confus.

« Tu m'entends ? Anzu, tu m'entends ?! »
* bien sûr crevard... *

Trois ans plus tard


Doyle MacCornac avait vu des dizaine et des dizaines de pathologies et de gamins différents. Depuis le début de sa carrière, des enfants perturbés, violents, psychopathes ou déséquilibrés, menteurs ou fragiles avaient frappés a sa porte, généralement contre leur gré et, les mains jointes, fébriles ou frémissantes de colère, s'étaient lentement confiés. Devant ces cas singuliers, McCornac avait prit soin de respecter la déontologie et de laisser de côté tout sentiments personnels intervenir dans un examen minutieux et invariable. Il accordait une importance primordiale au milieu familiale et au passé tumultueux de ses patients et jugeaient chacun des cas avec une infinie patience qui aurait souvent pu passer pour une claire indifférence empreinte de bonhomie. Mais cette gamine le perturbait. D'ordinaire, les enfants qu'il accueillait déversait de leur colère et après plusieurs minutes de silence buté, inclinait maladroitement la tête et se confiaient, hésitants. Il ne la comprenait pas et la jeune fille avait gardé un silence pesant tout au long de la consultation, refusant obstinément d'ouvrir la bouche, le regard fixé sur un point invisible, peu désireuse de parler et visiblement totalement indifférente et imperturbable. D'un geste dans lequel se lisait une fatalité lasse, l'homme grisonnant tapota le dossier de sa patiente dans lequel il avait inscrit les résultats des dernières séances. A son grand désespoir, chacune des informations retranscrites dans le précieux recueil provenait de revues officiels, d'articles de journal jaunis et de témoignages hasardeux de professeurs et de camarades de classe.

Citation :
=> renfermée, déséquilibrée, paralysée des membres inférieurs depuis un an, santé fragile.
=> parents décédés suite au meurtre virulent de S.... Mairo, condamné a perpétuité par la justice
=> en famille d'accueil provisoire pour les semaines à venir
=> talents informatiques et aptitudes intellectuelles importantes dénotant d'une certaine maturité mais refus clair de l'autorité.
=> refus de se soumettre aux examens de fin d'année, stagne scolairement, encline à la violence

Lorsque McCornac avait parcourut les notes, il s'était sentit empreint de compassion pour cette gamine dont les parents avaient trouvé la mort. A présent, il ne ressentait plus qu'une certaine irritation devant son mutisme et les piercings qui criblaient sa peau juvénile. C'était un cas. Un sacré cas.


Centres d'intérèts

Les ordinateurs, l'informatique en général. Depuis Trois ans, la jeune femme entretient d'étroites relations avec divers hackers rencontrés sur un site de mise en commun et de piratage européens. Importantes capacités ainsi liés au domaine informatique, piratage fréquent a différentes échelles.

Autres



-----------


†HJ†

Comment avez-vous trouvé le forum?
Que pensez-vous du forum?
Présence sur 10


Dernière édition par Chiaki Anzu le Dim 30 Nov - 13:13, édité 6 fois
Revenir en haut Aller en bas
Hugo Colnare
Kira
Hugo Colnare


Nombre de messages : 23
Localisation : Là :)
Pseudonyme : Colnare
Shinigami : Maedra
Date d'inscription : 22/11/2008

Chiaki Anzu [OK] Empty
MessageSujet: Re: Chiaki Anzu [OK]   Chiaki Anzu [OK] Icon_minitimeSam 29 Nov - 3:48

Bienvenue parmi nous cheers

(Bien que je ne sois moi-même pas totalement validé Laughing )
Revenir en haut Aller en bas
Chiaki Anzu

Chiaki Anzu


Nombre de messages : 5
Date d'inscription : 28/11/2008

Chiaki Anzu [OK] Empty
MessageSujet: Re: Chiaki Anzu [OK]   Chiaki Anzu [OK] Icon_minitimeSam 29 Nov - 7:07

Merci petit monsieur ._.
- Han, un futur kira x____x Merci pour ce gentil et premier message de bienvenuuue \o/-
( avec trois u, pour faire fachon hihi <3' )
Revenir en haut Aller en bas
Matsuyama Eikichi
Modérateur
Matsuyama Eikichi


Nombre de messages : 931
Age : 34
Localisation : Tōkyō
Pseudonyme : Sawada Ikki
Shinigami : Ah ah ... qui croit encore à cette blague ?
Date d'inscription : 29/09/2007

Chiaki Anzu [OK] Empty
MessageSujet: Re: Chiaki Anzu [OK]   Chiaki Anzu [OK] Icon_minitimeSam 29 Nov - 12:59

Wep bienvenue, j'attends la suite de ta fiche avec impatience Wink
Revenir en haut Aller en bas
http://codegeassrpg.bestoforum.net
Chiaki Anzu

Chiaki Anzu


Nombre de messages : 5
Date d'inscription : 28/11/2008

Chiaki Anzu [OK] Empty
MessageSujet: Re: Chiaki Anzu [OK]   Chiaki Anzu [OK] Icon_minitimeDim 30 Nov - 13:16

Merci bien deuxième petit monsieur =x
La suite arrive mais j'tarde a écrire le caractère ._.
Et puis les présentations, ça m'emmerde hihi, en tout cas j'écris, j'écris (: !
Revenir en haut Aller en bas
Yamaguchi Nami
Admin // Membre de la O.A.K
Yamaguchi Nami


Nombre de messages : 1740
Age : 32
Localisation : Quelque part à Tokyo, chassant les Kiras.
Pseudonyme : Matsumoto Nami
Date d'inscription : 22/04/2007

Chiaki Anzu [OK] Empty
MessageSujet: Re: Chiaki Anzu [OK]   Chiaki Anzu [OK] Icon_minitimeJeu 4 Déc - 19:50

Bienvenue!

Décidément, tu écris très bien! J'ai adoré lire ta présentation! Est-ce qu'elle est terminée? Si oui, je te valides! ^__^
Revenir en haut Aller en bas
Chiaki Anzu

Chiaki Anzu


Nombre de messages : 5
Date d'inscription : 28/11/2008

Chiaki Anzu [OK] Empty
MessageSujet: Re: Chiaki Anzu [OK]   Chiaki Anzu [OK] Icon_minitimeDim 7 Déc - 9:02

Au départ, j'voulais écrire beaucoup plus long, développer l'histoire et le caractère au maximum mais si s'que j'ai fait peut suffir, j'veux commencer à rp ^_____^

Ah, et pi' j'aimerais bien, si possible, intégrer Anzu a l'O.A.K, histoire de donner un peu un but au rp, je sais pas comment mais voilà *o* !

Désolée en tout cas pour une fiche qui a trainé à venir x____X
Revenir en haut Aller en bas
Yamaguchi Nami
Admin // Membre de la O.A.K
Yamaguchi Nami


Nombre de messages : 1740
Age : 32
Localisation : Quelque part à Tokyo, chassant les Kiras.
Pseudonyme : Matsumoto Nami
Date d'inscription : 22/04/2007

Chiaki Anzu [OK] Empty
MessageSujet: Re: Chiaki Anzu [OK]   Chiaki Anzu [OK] Icon_minitimeMer 10 Déc - 7:05

D'accord ^__^ commence à poster quand tu veux.

Alors elle est anti-kira? Chouette ^__^ on va tenter d'arranger ça...faut juste trouver une idée..
Revenir en haut Aller en bas
Contenu sponsorisé





Chiaki Anzu [OK] Empty
MessageSujet: Re: Chiaki Anzu [OK]   Chiaki Anzu [OK] Icon_minitime

Revenir en haut Aller en bas
 
Chiaki Anzu [OK]
Revenir en haut 
Page 1 sur 1

Permission de ce forum:Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum
[X]Death Note -- Revival :: † Avant de Commencer † :: . Présentations .-
Sauter vers:  
Ne ratez plus aucun deal !
Abonnez-vous pour recevoir par notification une sélection des meilleurs deals chaque jour.
IgnorerAutoriser