Nakata Mao [OK]

†DJ†

Nom
Nakata

Prénom
Mao

Surnoms
"White pawn"

Pseudonyme
Maeda Mao (dans son casier judiciaire)

Âge, date de naissance
25 ans, 1er juillet 2080

Description Physique
Silhouette allongée, vulgaire, vaguement négligée ... Mao séduit par son apparence rebelle. C'est un japonais mince aux cheveux noirs, bouclés et coupés au niveau des épaules. Bien que relativement jeune, il est grand, pâle et agile. Ses yeux bleus sont profondément enchâssés. Son visage harmonieux (pour ne pas dire parfait) est doublé d'une peau laiteuse ... C'est un demi-dieu. Comme tout Hercule qui se respecte, le criminel n'a jamais manqué de la compagnie du sexe opposé. Le magnétisme qu'il dégage charme les femmes. Un peu comme l'ampoule d'une lampe attire les moustiques jusqu'à ce que - les ailes brûlées - ils voguent en grondant vers de nouveaux horizons ... Oh non, ce n'est pas un refus qui empêchera Mao de prendre du plaisir à tromper. Il est trop libertin pour retenir ses pulsions. Ce n'est pas sa faute s'il est beau et s'il plaît à toutes ces jolies demoiselles ... Mais ... Mais ! Qui pourrait résister à son doux regard océan ? A son sourire mielleux, ses cheveux soyeux et ondulés, sa peau blanche comme la nei ... Quoi ? Je m'répète ? Evidemment ! Comment pourrais-je me lasser de décrire cet être PAR-FAIT ?
En résumé, Mao est beau, et vous fantasmez toutes sur son corps de rêve. Ok ?


Caractère
Mao n'est pas un homme ambitieux. Tout ce qu'il souhaite, c'est venger ses amis tôlards tués par Kira. Il accorde également beaucoup d'importance à l'avenir son frère Setsuna, bien qu'il évite soigneusement de prendre contact avec lui. La personnalité du criminel est plutôt difficile à cerner. C'est quelqu'un de très posé, de réfléchi et d'apparence bienveillante ... Un inconnu serait incapable de reconnaître en lui un criminel et un violeur récidiviste. Il est très protecteur et admet ses torts dans l'évidence. Mao ne ment que lorsque ça lui semble nécessaire (il n'ira pas jusqu'à revendiquer ses crimes ou révéler une planque, mais mentir pour blesser quelqu'un ne lui procure aucun plaisir), en plus de tisser facilement des liens d'amitié. Dans le fond, il est presque honnête ! Mais voyons l'autre côté du miroir. Le criminel est ... un criminel. Il n'a pas peur de tuer. Il n'aime pas ça certes, mais ses sentiments ne l'empêcheront pas d'atteindre ses objectifs. S'il faut descendre des innocents avant d'atteindre Kira alors il suivra ce bout d'chemin et butera les obstacles qui lui feront face. Il vole pour assouvir ses plaisirs mais par principe, Mao ne dérobera jamais les biens d'une personne ; il se contente de piller les grands magasins. Pour clôturer cette présentation, rappelons que Mao est un garçon libertin (ô grands mots, pervers, vicieux et obsédé). Il a souvent des pensées déplacées et ne retient pas ses yeux quand ils se posent sur des lieux intimes et interdits. Lieux sur lesquels le japonais n'hésitera pas à glisser la main ... C'est un vice dont il n'arrivera sans doute jamais à se défaire.


Histoire
"Pourquoi on doit porter ces masques horribles ? J'me sens ridicule" marmonna un adolescent en soulevant d'un pincement d'doigts le visage cartonné de Mickey Mouse.
Un autre s'empressa de lui répondre : "Tu n'veux pas que tes parents voient ta tête dans l'journal de demain, si ? Ce serait con que les flics te cueillent devant chez toi."

Ah ... dissimuler notre identité. C'était notre principale préoccupation ce soir là.
Nos familles nous considéraient déjà comme des voyous, mais nous faisions tout de même de notre mieux pour oeuvrer dans la discrétion. Pourquoi ? C'est pourtant simple. Nous avions décidé de braquer une bijouterie ... qu'allait-on faire de tout cet argent et des bijoux volés après le casse ? Nous n'en savions rien. Nous, cette petite bande de branleurs japonais en manque, ne pensions qu'à remplir nos poches et dilapider nos gains dans des plaisirs d'adolescents.

C'était aussi simple que ça.

"Ouais ... mais pourquoi CES put*ns d'masques ?! On dirait une troupe de cirque ..."

"Hey, vos gueules les mecs ! On arrivera jamais à braquer cette foutue bijouterie si vous vous disputez sans arrêt merde. Fermez-la une bonne fois pour toute."

Ca, c'est moi. Nakata Mao. Je n'aurai pas la prétention de me désigner comme un leader ... Mais je suis pourtant le chef de cette misérable bande. 'Faut dire que mon enfance était des plus chaotiques. Je me suis toujours disputé avec mon père. Un agent de Police ... Il me méprisait. Lequel d'entre nous haï l'autre en premier, je n'en ai pas la moindre idée. Peut-être suis-je devenu délinquant parc'qu'il ne me témoignait pas l'affection qu'un père doit à son fils. Peut-être me déteste-t-il à cause des problèmes que j'apporte depuis ma naissance. Qu'est-ce que j'en sais, au juste ? Il ne restait au fond de moi que cette haine dévorante doublée d'un désir de vengeance grandissant. Je le haïssais. Je voulais qu'il souffre moralement, qu'il remette son éducation en question, qu'il s'en veuille. Cela m'amenait à braver toutes sortes d'interdictions ... Des conneries intentionnelles. Ces erreurs de conduite le rendaient honteux. Ses collègues, ses proches ne voyaient plus que mes actes de vandalisme. Ca le rendait dingue. Il me punissait mais je recommençais toujours.

Alors il me frappa.

Mon père n'était pas le seul membre de la famille que je haïssais de toutes mes forces. Il y avait aussi ma soeur : Toru. C'était une petite fille brillante, virtuose, gâtée. Mes parents l'adoraient. Ils lui offraient des cours de danse. Quand mon père tendait la main vers moi, c'était pour me couvrir de bleus. Lorsqu'il tendait cette même main vers Toru, cette même main lui caressait le visage, cette même main relevait son menton et séchait ses larmes. Ca m'rendait malade. Pourquoi l'aimait-il ? Pourquoi cette gamine si discrète, si réservée faisait-elle l'objet de toutes les conversations alors que je devais lutter et détruire pour être remarqué ? Cette question, je la posais souvent à ma mère. Elle me répondait avec un faux sourire que je n'étais pas un garçon sage ... que mon père ne savait plus où donner de la tête à cause de moi. Cela l'indifférait totalement mais je n'lui ai jamais rien reproché. Elle faisait l'effort de soigner mes blessures ... C'était la moindre des choses. Oh, ne vous inquiétez pas, mon père n'était pas l'unique responsable de toutes ces cicatrices et de toutes ces marques : j'étais du genre rebelle et je me mettais dans des situations pas possibles. Surtout vers mes quinze ans. Je dealais, je volais ... j'ai même violé quelques filles. Mon père s'attendait certainement à retrouver un cadavre dans mon placard. C'est toujours lui qui m'accueillait au poste de Police.
Il se gardait naturellement de me présenter comme son fils. Je n'étais qu'un étranger.

~¤~

"Que tout l'monde lève ses mains au-dessus de sa tête, bien en évidence !"

Mao pointa son flingue vers les clients. La bijouterie était en pleine panique. C'était le chaos ... Les gens gémissaient, pleuraient, criaient, suppliaient. Leur comportement était désorientant et ce vacarme montait à la tête des délinquants. Quel bordel.

"Allongez-vous sur le sol ! Eh toi, ouvre la caisse et file moi l'argent !" reprit le jeune homme en collant son pistolet contre la tête du caissier. Le pauvre vieux tremblait ... Il dû s'y reprendre à trois fois pour entrer le code d'accès. Trois fois ! Pendant ce temps, les autres voyous cassaient les vitres des étalages pour voler bijoux, bagues, colliers et diamants. Des éclats de verres filaient un peu partout dans la salle. Dans d'autres circonstances c'eut été un merveilleux spectacle ! C'est alors que ...

"MAO ! Je ... je crois que les poulets arrivent ! Qu'est-ce qu'on doit faire ?!"

"Ne m'appelle pas par mon prénom ! A quoi servent ces masques selon toi !?"

Silence.

"Je te rappelle qu'on a des otages, mec ! Ils ne peuvent pas nous atteindre. On va partir par le toit. Kyoya a installé un câble pour qu'on descende, et ... Ah !"

Un policier entra dans la bijouterie. Mao hésita, lorsqu'un de ses camarades se jeta contre une vieille femme et l'empoigna. La menace était claire - pourtant, l'agent avança sans dégainer son arme. Il parlait calmement : "Vous ne tirerez pas ... Ce serait la plus grosse connerie de votre vie, les enfants. Ne gâchez pas toutes vos chances en prenant la vie de quelqu'un. Ca vous détraquera l'esprit et vous vous en voudrez jusqu'à la fin de vos jours. Croyez-moi, vous n'en êtes pas capables. Ce n'est pas aussi simple."

Le jeune leader fronça les sourcils. Quel beau discours ... Derrière lui, un délinquant s'exclama : "Mais c'est qui ce type merde ? Il se prend pour un jedi ou quoi !"

Ce qu'il disait n'était pas faux mais même s'ils abandonnaient maintenant, la bande finirait en prison. Les plus jeunes s'en tireraient peut-être mais c'en était fini de lui.

"Vous êtes trop sûr de vous. Reculez et sortez par la porte, tout d'suite, ou il tirera."

Le délinquant détenant la vieille en otage jeta un regard sur Mao. Il n'était pas rassuré ... Et pour cause, au lieu de reculer, le policier marcha vers lui. La main du voyou tremblait. Tuer quelqu'un de sang froid ... non. Il ne voulait pas tirer. Il ne pouvait pas. Sa détermination n'était pas aussi forte que celle de son camarade. Cet homme croyait si fort en ses paroles ou était-ce son uniforme qui lui montait à la tête ?

"RECULEZ OU ON TIRE, MERDE !" gueula le chef de la bande en dirigeant son arme vers un client, visiblement un homme d'affaire. Le policier s'empara du flingue de l'autre délinquant sans avoir à lui forcer la main. Il se tourna ensuite vers Mao et reprit son manège pour répandre sa sainte évangile : "Ecoute ... fais comme lui et laisse tomber ces idioties. Ca n'en vaut pas la peine. C'est une perte de temps. Tu ne tireras pas, je le s..."

"NE FAITES PAS COMME SI VOUS MAITRISIEZ LA SITUATION" s'égosilla Mao.

Il tira.

"M ... Mao, tu l'as buté ?" bredouilla une voix dans son dos. Le garçon s'efforça de garder son calme et visa le policier qui l'observait froidement, pointant l'arme à feu précédemment subtilisée en sa direction. L'adolescent ne savait pas quoi faire. Il tira encore une fois ... Autour de lui, les clients et les voyous s'agitaient de plus en plus. La panique augmenta. C'était un vacarme insupportable, un véritable fiasco. Les policiers ne tarderaient pas à entrer par douzaines. Il avaient sans doute entendu les deux coups d'feu : "Prenez les sacs ... on ... on s'en va. Vers le toit. Vite !"

~¤~

J'ai tiré sur deux hommes ce soir là - plus trois autres lors de notre tentative d'évasion depuis le toit de la bijouterie. Trois d'entre eux sont morts ... dont le civil. Je suis devenu un meurtrier. La plupart de mes camarades sont retournés dans leur famille avec leur part du butin. Je suis resté dans un entrepôt avec l'un d'entre eux. Il avait perdu son masque pendant le braquage ; ses parents étaient certainement au courant du casse. Je n'pouvais pas le laisser encaisser mes conneries. J'avais quelques regrets. Les détails sont loins mais ... Il me semble qu'on y demeura trois jours. Le dernier jour, ma petite soeur Toru appela mon portable. Sa voix tremblait d'inquiétude. Je n'sais plus exactement quel mensonge mon père lui insuffla pour me faire revenir ... Mais je suis retourné chez moi. Deux voitures de flics m'attendaient.

"Tu m'as appelé ... pour m'embarquer ?! J'te HAIS !"

"Mao ... Pas devant mes collègues s'il te plaît."

"Sale con ... VA T'FAIRE FOUTRE SALOPARD !"

~¤~

Ils m'ont condamné coupable pour trois homicides, deux viols (seulement deux ?) et une multitude de vols à mains armées. J'ai passé cinq ans en prison. C'était dur mais moins que je ne le pensais ... Je me suis fait quelques bons amis derrière les barreaux. Il s'agissait de criminels, certes, mais nous avions des choses en commun. Matsushita Tanuichi par exemple. Un bel enfoiré ce mec ... Comme moi, il se faisait battre par son père. Il y avait aussi Yamamoto Ken et Kyo. Des jumeaux cambrioleurs. Eux aussi braquaient des bijouteries. De vrais clowns.

Notre incarcération prit fin lorsque les événements Kira commencèrent. Ces morts à répétition plongeaient les prisons japonaises dans un état d'alarme. Le directeur de notre prison décida de vider les lieux. Il pensait qu'en nous déplaçant, le nombre de décès diminuerait. Je comprends maintenant que les crimes de Kira n'ont rien à voir avec l'emplacement de ses victimes. Moi, Tanuichi, Ken et Kyo furent tous les quatre embarqués en fourgon pour être conduits vers une autre prison. Nous avions peur de Kira ... Nous sentions notre mort arriver. Notre tour viendrait. Alors nous nous sommes évadés. Puisque nous allions mourir d'un moment à l'autre, autant profiter du peu de temps qu'il nous restait. C'était une évasion improvisée. Dans des conditions normales nous n'aurions même pas vu la lumière du jour ... Mais la situation alarmante et les prisonniers crevant dans leurs fourgons relâchèrent l'attention des gardes. On enfuma le camion, ce qui provoqua un accident et nous rendit la liberté. Nous sommes ensuite partis pour Tokyo. Tous les quatre. On s'est terrés dans un appart. Je n'ai pas pu m'empêcher de retourner chez moi en coup d'vent. Et je me souviendrai toujours de cette visite ...

~¤~

Mao hésita puis arrêta son poing à quelques millimètres de la porte. Devait-il frapper ? Comment l'accueilleraient ses parents ? Il venait de s'évader. Leur réaction ne serait sûrement pas chaleureuse ... Mais il voulait prendre de leurs nouvelles ... savoir ce qu'ils étaient devenus sans lui. Son départ avait-il allégé le poids de leurs problèmes ?

"Je ne fais que passer. Je ne leur ferait rien, je ne leur parlerai même pas" se jura Mao en posant la main contre la poignée de la porte. Toru devait être entrée à Todai ... Il devait au moins la féliciter pour ses études. Elle n'était pas responsable de toute l'attention qu'il lui enviait pendant son enfance. Peut-être devait-il s'en excuser maintenant.

La porte coulissa et le japonais pénétra dans ces lieux familiers. Des souvenirs lui revenaient peu à peu ... Toutes ces années passées ... ici ... Ses sentiments étaient indescriptibles. Mao souleva le rideau de perles qui séparait le couloir du salon.

"Y'a quelqu'un ?" demanda-t-il, cherchant des yeux un signe de vie, une silhouette.

"Tu es ... qui ?" chuchota une voix fluette. Le criminel plissa des yeux pour mieux repérer son interlocuteur. Ce n'était qu'un gamin ... trois ans à peine ... Agrippé contre la housse du canapé, il l'observait timidement, ses yeux verts grand ouverts. Ces yeux ... C'est fou ce qu'ils lui ressemblaient ! Comment ? Mais ... non, c'était ... impossible ...

Mao se jeta à genoux devant le gosse. Il l'attrapa par les épaules et plongea son regard dans le sien. Une partie de lui ne voulait pas y croire ... Cette ressemblance frappante ... c'était impossible. Est-ce que c'était son frère ? Le mioche tenta d'échapper à son étreinte, pleurant et criant : "Arrête ! Tu m'fais mal, lâche moi méchant !"

"Je ... excuse moi. Je n'voulais pas te blesser. Moi c'est Mao ... et toi ?"

"Setsuna" murmura le garçon en regardant dans son dos comme s'il se sentait épié.
Il ajouta en souriant : "T'inquiètes pas, papa me fait plus mal que toi. Mais chuuut ! Maman veut pas que je parle aux étrangers. Qu'est-ce que tu fais dans ma maison ?"

Alors c'était vraiment son petit frère.
Mao déglutit ... papa ... lui faisait plus mal ?

"Il te bat ... toi aussi" chuchota-t-il en tremblant.

"Est-ce que ton père te bat ?"

Le gosse ouvrit la bouche de quelques centimètres, puis la referma. Mao-kun ressentait de la compassion pour cet enfant. Comme lui ... Il était comme lui. Non, plutôt comme le lui d'avant ! Il l'entoura de ses deux bras et le serra contre sa poitrine. Rien n'était encore joué. La done pouvait encore être changée ! Comment pouvait-il aider son frangin, comment pouvait-il l'empêcher de devenir comme le lui d'aujourd'hui ?

~¤~

Je n'ai pas choisi la meilleure solution. Cet homme - mon père - je lui en voulais tellement ... Lorsque mes bras ont lâché Setsuna, j'avais complètement pété un câble. Je suis monté à l'étage et j'ai buté mon père dans son bureau. Sans lui laisser le temps de me voir ou de comprendre ce qu'il lui arrivait. Après la première balle, lorsqu'il tomba à terre, je savais qu'il était déjà mort ... mais j'ai tout de même vidé mon chargeur sur son cadavre ... C'était comme si vingts-trois ans de haine s'abattaient sur lui. Je ne me contrôlais plus.

Emmener Setsuna ne lui aurait causé que des problèmes. Je l'ai donc abandonné à ma mère. Moi, Tanui, Ken et Kyo sommes restés sur Tokyo pendant trois mois. Nous volions pour survivre et vivions ensemble dans le même appartement. Cette vie n'était pas désagréable. En réalité, nous nous amusions comme des gamins ... Je regrette qu'elle se soit terminée si vite et dans des conditions si dramatiques. Kira les a tués ... Ils sont partis, l'un après l'autre.

Deux ans sont passés. Vous savez c'qui est le plus drôle dans cette histoire ? C'est mon père qui m'a sauvé. Cet idiot avait tellement honte de mes crimes qu'il a falsifié mon casier judiciaire. Il ne souhaitait pas qu'on me reconnaisse comme son fils et m'a renommé "Maeda Mao" ! C'est maintenant sous ce nom que la Police Japonaise m'identifie. Ce pseudo et ma survie ... Je ne pense pas qu'il s'agisse d'une simple coïncidence. N'est-ce pas ? Ces éléments sont liés d'une façon ou d'une autre et je finirai par le prouver.

~¤~

"Kira m'a pris mes meilleurs amis. Je veux venger leurs morts."

"Je vois. Ce sont vos motivations ... C'est pour ça que vous voulez l'arrêter ?"

Mao-kun tira sur sa cigarette. L'arrêter ? Il n'en avait jamais été question. Le blesser, le torturer et le tuer en revanche ... Montrer qu'il n'était rien de plus qu'un criminel - comme lui. Il songeait longuement sur Kira depuis sa sortie de prison. Qu'était-il ? Une mystérieuse entité ? Un dieu ? Un humain ? ... Mais comment un homme pouvait-il supprimer des vies aussi facilement ? C'était irréaliste. Et pourtant ... en se fiant à ses déductions, Mao n'obtenait qu'une conclusion : Kira était un Homme et commettait des erreurs.

"Urakawa-saaan, vous m'avez contacté pour discuter d'une organisation visant à frapper Kira. Je me suis déplacé spécialement jusqu'en Corée, j'ai suivi vos consignes et me voici. Vous n'avez rien d'autre à me dire ? Je n'ai pas de temps à perdre."

"Très bien. Si vous souhaitez toujours rejoindre le Vae Victis, je vais vous demander de retirer tous vos appareils électroniques et de passer au détecteur. Ensuite, nous partirons pour le Japon. Vous aurez un entretien avec la tête pensante de l'organisation."

Mao esquissa un sourire en coin. Un entretien d'embauche, hein ? Parfait.

~¤~

Je n'sais pas à quoi ressemble cette fameuse tête pensante, mais je suis en route pour Tokyo. Je ne devrai pas tarder à rencontrer le "boss" de l'organisation. L'avocat n'a pas voulu me donner de nom ... Apparemment, on ne m'accordera confiance qu'une fois l'entretien clos. Je n'sais pas à quoi m'attendre. Peu importe : nous verrons bien ce que l'avenir me réserve.


Centres d'intérêt
Mao déteste les Kiras, le lait et les mathématiques. Il adore les glaces à la pistache, le bleu, la vieille musique, les armes à feu et les femmes ... Surtout les femmes !
C'n'est pas un violeur récidiviste pour rien. Y'a des poudres vachement pratiques pour ça ... Un ou deux verres et on écarte les jambes.



Autre(s)
Depuis sa sortie de prison, Mao s'est spécialisé dans le vol à main armée. Il n'est d'ailleurs pas mauvais en tir ... C'est un homme de terrain après tout. Mao parle couramment l'anglais mais conserve un léger accent japonais. Il est l'auteur de plusieurs viols, dont celui d'une femme qui se révèla être l'âme soeur de Jack Blackray (terminé par la mort de cette dernière). Il n'en sait rien mais cet élément pourrait influencer son futur.


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†HJ†

Comment avez-vous trouvé le forum? Par moi-même.
Multinicks [Famille, amis, etc ... (voir Multinicks)]? Moi-même aka Eikichi.
Que pensez-vous du forum? Il suxx est génial !
Présence sur 10? 6/10

Wow, j'suis impressionnée! *o*
T'écris toujours aussi bien xD' Même à 2h du matin! o__o Ben en fait...on est pareil. Mes meilleurs chapitres de fic, je les fait tard dans la nuit xD Genre quand tout le monde est couché... xD

Enfin, tu préfères que j'attendes ou je te valide tout de suite? =3

Même si c'est un criminel/pervers/violeur/meutrier, il reste touchant...;_; xD

Tu peux me valider tout d'suite si tu veux mais je relirai tout d'même après (je suis sûre qu'il y a des phrases horriblement formulées o_o). Merci pour le compliment, je pense que je vais bien me marrer à jouer ce perso. Mais y'a pas assez de personnages féminins majeurs sur ce forum :p

La plupart son des ados, alors...xD'

Ton perso aurait des tendances pour les "très jeunes filles" ?? xD

M'enfin, ya toujours Sakura...=D *se mange une enclume* Ah, j'oublais Nahe xD' Prise de choix... *enclume-bi*

Bon, je te valides

Ah non j'ai dit violeur pas pédophile, 20 ans minimum, on va pas exagérer non plus XD
Pas grave j'intégrerai des PNJ à harceler dans mon RP huhu. Merci !

XD''' D'accord. Nahe trop jeune xD Sakura encore plus.....baah j'voudrais bien t'aider mais... ;_; XD

À part m'inventer un autre perso, féminin cette fois.... Oo J'vois pas ce que je peux faire.

Voilà, je recrute des joueurs pour jouer mes futures victimes XD

Moi j'veux me faire violer par Mao!! ;__; SITOPLÉ!!!!!!!! J'VAIS M'HABILLER EN FILLE!!

*se prend une enclume*

Muhaha. T'écris trop biienn *_* J'tenvie, vraiment. Genre.. même à 2h du mat, t'écris tellement mieux que moi.

xD Vive les victimes. J'vais y réfléchir...

Tu te ferais vraiment un compte pour te faire violer par Mao?

Mais oui car "Mao est beau, et je fantasme sur son corps de rêve. Ok ?"

Ah Ok. Dans ce cas là je te comprend o.o Moi aussi je pense que "Mao est beau, et je fantasme sur son corps de rêve."

Ouaiiiis \o/

Pour être honnête, j'avais déjà écrit une partie du BG y'a un petit bout d'temps XD
Mais j'attendais les vacances pour terminer la fiche un peu plus "sereinement".

Du coup je vais relire là.



P.S. Delrith, tu auras reconnu l'avatar

[EDIT] Voilààà, j'ai relu. J'ai pas changé grand chose en fait.

Ah, le voilà donc, ce fameux violeur ! è_é
Vivement qu'je le coince, celui-là.

Sinon, bah comme tout le monde, c'est une excellent écriture que tu nous montre
Tellement qu'on se sent ridicule après. >.<

Merci

Mais si tu croises Mao, à part s'il te donne son pseudonyme (ce qui serait stupide donc il se gardera bien d'le faire ... quoique, ça pourrait être marrant de le dire juste pour voir) t'auras du mal à faire le lien. Mais j'imagine bien la scène : tu parles avec Mao, tu l'trouves sympa et là : "Au fait, c'est quoi ton nom ?"

"Nakata Mao"

"Aaaaah, t'as buté ma copine, crèèèève charogne !"

Hin hin, oui en effet c'est un truc à faire xD